DE PEQUENINO SE ESCOLHE O PRATINHO!

TRANSIÇÕES | In Loco

Convite para celebrar o Dia da Criança com a estratégia de educação alimentar “Prato Certo”, no Jardim da Verbena, em São Brás de Alportel, no dia 01 de Junho, entre as 16:30h e as 18:30h 

A alimentação adequada é uma das principais formas de aumentar a qualidade de vida das pessoas e das comunidades, particularmente em momentos de crise sanitária, social e económica como o que atravessamos.  

A parceria do Projeto Prato Certo contribui ativamente para esse objetivo, demonstrando de forma prática e simples como podemos fazer as escolhas certas para uma alimentação saborosa, saudável, económica e sustentável, utilizando os princípios do estilo de vida mediterrânico. 

Esta preocupação é particularmente importante para a alimentação das crianças, que têm no dia 01 de junho o seu momento especial. 

Neste dia, entre as 16:30h e as 18:00h, serão realizadas atividades práticas demonstrativas das diversas ferramentas e técnicas de educação alimentar que podem ajudar as crianças e as suas famílias a realizar decisões alimentares informadas.  
Pelas 18:00h, será apresentada aos meios de comunicação social a edição melhorada e alargada do livro “Receitas e Dicas para uma Alimentação Saudável, Saborosa e Económica” bem como a renovação da plataforma www.pratocerto.pte a adaptação da Unidade Móvel de Educação Alimentar (UMEA) aos desafios da alimentação adequada em tempos de crise.

Devido às limitações em vigor, as cinco famílias com crianças dos 5 aos 10 anos que serão convidadas a participar nas atividades devem realizar a sua pré-inscrição neste link, até 30 de maio :

Os meios de comunicação que estejam interessados em acompanhar todo ou parte das atividades devem confirmar a sua presença para o e-mail pratocerto@in-loco.pt até dia 30 de maio

Toda a comunidade é convidada a acompanhar as atividades, que serão transmitidas em direto no Facebook e no Instagram do projeto Prato Certo, que une toda a região pelo direito a uma alimentação adequada.

Fotos :© InLoco

BREVES | O mundo investiu mais em energias renováveis que em fósseis

PRAÇA DAS REDES | 19 de fevereiro 2021 | BREVES | Transições

PELA PRIMEIRA VEZ, EM 2020, O MUNDO INVESTIU MAIS EM ENERGIA VERDE DO QUE EM FÓSSEIS


Pode parecer um ponto de inflexão. Enquanto as energias renováveis ​​chegaram a US $ 500 bilhões em investimentos em 2020, as da produção de petróleo e gás caíram para menos de US $ 400 bilhões.

É a primeira vez que os primeiros vencem os segundos … e com uma lacuna muito significativa! Resta saber se este é um epifenômeno ligado à crise global ou se estamos testemunhando o nascimento de um novo paradigma energético.

NOVETHIC

© Fonte Novethic

TRANSIÇÕES | Inação climática é crime. Estado francês condenado

PRAÇA DAS REDES | 18 de fevereiro 2021 | INFO | Transições

O Tribunal Administrativo de Paris condenou o Estado francês por inação climática. Trata-se de uma decisão histórica que certamente terá efeitos nas iniciativas futuras dos cidadãos que não baixam os braços e assumem a confrontação legal com os decisores políticos como uma domínio de expressão de cidadania ativa.

Histórico. O qualificativo tem fortes probabilidades de ser repetida por todos os media ao longo da semana. O Estado francês foi condenado por inação climática. O tribunal administrativo de Paris acatou o apelo do relator público de 14 de janeiro e reconheceu na sua deliberação de 3 de fevereiro a responsabilidade do Estado na crise climática.

Por outras palavras, o não cumprimento de seus compromissos de reduzir as emissões de gases de efeito estufa é ilegal.

fonte Alternatives Economiques

Le climat et les gilets

Michel Gevers do jornal POUR, parceiro de comunicação na Bélgica, estabelece uma ligação entre ecologia e luta contra a o sistema dominante.

Ce dimanche, des dizaines de milliers d’entre nous iront manifester à Bruxelles pour exiger de nos gouvernants qu’ils s’attaquent enfin aux changements climatiques qui menacent notre planète. Depuis deux semaines, des milliers de citoyens, en France et en Belgique, crient leur détresse devant la paupérisation croissante dont ils sont victimes et leurs difficultés insurmontables à boucler leurs fins de mois; ils s’attaquent notamment à l’augmentation des taxes appelées “environnementales” par ces mêmes gouvernants. Y a-t-il des liens entre ces deux démarches ?

En 2015, la Belgique était la risée de la COP21, cette conférence internationale sur le climat qui décidait d’une série de mesures visant à limiter le réchauffement climatique et à sauver la planète d’une lente destruction qui menace directement des centaines de millions de personnes à cause de la montée des eaux. Jusqu’à la veille de la conférence, les ministres de l’environnement du gouvernement fédéral et des entités fédérées ne parvenaient pas à se mettre d’accord sur des objectifs même minimalistes. Depuis cette fameuse COP21, les principales décisions de nos gouvernants ont été de tenter de reporter à plus tard les engagements pris en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Aucun investissement dans la mobilité et les transports publics qui permettraient de réduire drastiquement les émissions de CO2 par les voitures; pire, une réduction catastrophique des budgets de la SNCB. Aucune politique d’isolation massive des habitations privées et des bâtiments publics; pire, une suppression par le gouvernement fédéral des primes à l’isolation qui existaient précédemment. Aucun plan énergétique durable; pire, des prolongations successives de nos centrales nucléaires qui sont parmi les plus vieilles du monde et qui, après plus de 40 ans de fonctionnement, ne peuvent que tomber de plus en plus fréquemment en panne.

Depuis deux ans, les rapports des experts du climat se font de plus en plus alarmistes et, en dehors des discours officiels qui se doivent d’être rassurants, ces experts admettent que l’objectif de limiter l’augmentation de température à 2° n’est déjà plus atteignable. Et ce qui était prévision de scientifiques est devenu réalité tangible pour les populations du monde entier : températures jamais atteintes dans certains pays, cyclones de plus en plus violents, périodes de sécheresse de plus en plus longues, forêts et villes détruites par le feu.

Et que font nos gouvernants ? Ils introduisent des taxes qu’ils appellent « environnementales » qu’ils ont le culot de faire payer non pas aux responsables de la pollution, mais à toute la population, y compris la plus précarisée, en osant affirmer qu’elles sont nécessaires pour assurer la « transition écologique ». C’est un peu comme si, face aux incendies qui ont ravagé des villes en Californie, on exigeait de chaque Californien qu’il aille personnellement jeter une cuillerée d’eau sur l’incendie.

Aujourd’hui, les 100 entreprises les plus polluantes au monde produisent à elles seules 70% des émissions de CO2 industriel. Une personne faisant partie des 1% les plus riches au monde génère en moyenne 175 fois plus de CO2 qu’une personne se situant dans les 10% les plus pauvres. Mais nos gouvernants, qui font tout pour favoriser l’évasion fiscale massive de ces entreprises et de ces super-riches, demandent qu’un pensionné ou un travailleur qui gagne moins de 900€ par mois paie une taxe pour assurer la « transition écologique ». Les Macron et autre Michel, qui ont si largement contribué à abaisser les impôts des plus riches et des multinationales, viennent raconter la main sur leur cœur devenu écologiste que, même si c’est difficile pour les gens à faible revenu de payer encore un impôt de plus, c’est la seule manière de contribuer à sauver la planète.

Sauver la planète demande d’abord une vraie volonté de changer complètement de système économique et demandera aussi des investissements substantiels, d’ailleurs massivement créateurs d’emplois. Or ce n’est pas l’argent qui manque pour ces investissements. Mais il faut vouloir le capter et ce gouvernement De Wever-Michel a tout fait pour le laisser filer. En 4 ans de temps, il a éliminé des centaines de postes du Ministère des Finances alors que chaque agent rapporte en impôts prélevés environ 10 fois son salaire. Il a supprimé l’Office Central de lutte contre la Délinquance Economique et Financière Organisée (OCDEFO), l’organe le plus efficace de lutte contre la criminalité financière. Il s’est opposé à la restitution au trésor belge de centaines de millions d’euros résultant de tax rulings déclarés illégaux par la Commission Européenne. Le juge Michel Claise, spécialisé dans les grands dossiers de criminalité financière, situe les pertes annuelles au budget de l’État, dues à l’évasion et la fraude fiscale, entre 22 et 31 milliards. Imaginez ce qu’on pourrait faire avec ces montants en termes de transports publics, de réduction de la pauvreté, d’économies d’énergies, d’accès retrouvé aux soins de santé pour les plus précarisés.

Car dans le même temps où ce gouvernement De Wever-Michel a refusé de s’intéresser à la crise climatique et où il a multiplié les efforts en faveur des plus riches, il a mené une politique systématique de démantèlement des services publics et de détricotage de la sécurité sociale. À la manière d’un rouleau compresseur, il s’est attaqué à toutes les catégories les plus faibles de la population : les pensionnés, les chômeurs, les malades, les femmes, les travailleurs pauvres qu’il oblige à accepter des jobs-jobs-jobs sans sécurité sociale et dont les salaires ne permettent pas de nourrir une famille au-delà du 20ème jour du mois. Depuis 2 ans, le taux de pauvreté a augmenté de 6,7% en Belgique, passant de 14,9% à 15,9%; les CPAS n’ont plus assez de personnel pour faire face à l’accroissement de leur « clientèle » et le nombre d’étudiants devant faire appel au CPAS explose.

Dans ce contexte, l’explosion de colère des gilets jaunes n’a rien d’étonnant et doit être soutenue. Elle couvait depuis longtemps; il ne manquait que l’étincelle. Car comment oser demander à un ménage qui habite en milieu rural, qui calcule au litre près son achat d’essence pour encore pouvoir conduire ses enfants à l’école dans la dernière semaine du mois, qui se voit obligé d’annuler son rendez-vous chez le médecin, mais qui est obligé de se rendre à la convocation du Forem, comment oser lui demander de payer des taxes supplémentaires pour son carburant en lui faisant croire que c’est pour assurer la « transition écologique » ? Prétendre assurer l’avenir de la planète par une taxation qui frappe indistinctement les possédants et les précarisés est insupportable, car si pour les riches elle est indolore, elle enfonce encore plus les précarisés dans la misère. Et la manière dont Macron et Michel tentent de dresser l’opinion publique contre les gilets jaunes en les présentant comme des adversaires de la transition écologique est tout aussi insupportable.

On ne peut se battre pour l’écologie que si on se bat contre l’évasion fiscale. Car il n’y a pas de transition écologique sans justice sociale. Et la justice sociale n’est pas possible sans transition écologique. Car ce sont les investissements dans les transports publics, dans l’isolation, dans la santé alimentaire, dans le rétablissement des droits à la santé qui permettront de sortir des catégories entières de la population de la précarité.

Pour tenter de faire oublier son inaction totale sur le climat et pour masquer l’accroissement spectaculaire de la pauvreté et des inégalités que ses politiques ont engendrées, le gouvernement, soutenu par les médias, a inventé de toutes pièces la « crise migratoire ». Quelques milliers de migrants entrent chaque année en Belgique; il y a plus d’un million et demi de belges qui sont en risque de pauvreté; il y a des centaines de millions de personnes sur la planète qui sont menacés de disparition ou de migration forcée à cause du réchauffement. Le phénomène migratoire en Belgique est donc dérisoire par rapport à la pauvreté et à la crise du climat. Arrêtons de nous laisser distraire des vrais problèmes. Participons massivement à la marche pour la planète en obligeant nos gouvernants à s’occuper des urgences du moment : le sauvetage de la planète et la réduction des inégalités.

Michel Gevers pour la rédaction de POUR

O que diz Giacomo?

O tema do decrescimento não é novo. Já nos anos 70 era mencionado “en passant” por alguns pensadores críticos da evolução do capitalismo num sentido cada vez mais “selvagem”. Mas Giacomo d´Alisa não trata o assunto para se dar ares de “alternativo”. O seu discurso e as suas propostas são para orientar reflexão mas também acção. Por isso vale a pena ir ao encontro de uma abordagem que apresenta uma faceta peculiar; segundo Giacomo o conceito de decrescimento não é capturável, no plano da linguagem mas também da  visão a ele associada, pelos decisores e ideólogos do capitalismo contemporâneo. Enquanto que o “desenvolvimento sustentável” e a própria “economia circular” se apresentam como referências que foram adaptadas e inseridas no discurso mainstream e na própria agenda do crescimento, para dar credibilidade à continuição de um processo de destruição dos recursos do planeta e do aprofundamento da pobreza a nível global, o conceito de “decrescimento” está blindado a processos de captação oportunistas porque se situa no ponto oposto da estratégia de fundo dos defensores do capitalismo actual.

Alguns questionam a consistência, no plano alternativo, de uma formulação negativa para agregar visões e vontades de mudança social. André Barata na “aula aberta” de Giacomo d´Alisa na UBI ontem dia 6 de Abril adiantava uma preferência por uma denominação de pós-crescimento. Outros permanecem fiéis ao conceito amplo e global de desenvolvimento.

Uma coisa é certa, a interpelação decrescimentista que nos foi  proposta por Giacomo d´Alisa, na Coolabora primeiro e na UBI na jornada seguinte,  é muito desafiadora, sendo agora necessário, para quem quer ir mais além, ultrapassar a fase da “crítica implacável ao crescimento” e do diagnóstico mais ou menos catastrofista, para uma análise sobre todas as questões essencias da nossa vida em comum, fazendo emergir no contexto desta “crise antropológica” segundo Morin ou “crise de civilização” na versão de Serge Latouche, um imaginário suficientemente aglutinador das inúmeras iniciativas e ideias que convergem para uma mudança social radical à escala local e global.

Carlos Ribeiro/Caixa de Mitos – 7 de Abril2018


  

REDE INFORURAL – AS FEIRAS DE TROCAS

A Troca a tod@s é uma iniciativa de sensibilização para a economia solidária com experiência de moeda social. Uma iniciativa da Coolabora e de muitas outras organizações locais que reúne regularmente na Covilhã os que querem fazer propostas de produtos e serviços com aqueles que têm necessiades e também estão disponíveis para apoiar a iniciativa económica dos outros.

A Caixa de Mitos participou na animação de uma das actividads levadas a efeito no âmbito do INFORURAL um projecto da CNJ – Confederação Nacional dos Jobens Agricultores e do Desenvolvimento Rural que a Caixa está a dinamizar a nível nacional.
Mais iniciativas destas tornam-se indispensáveis para provocar rupturas com o consumeirismo e favorecer o laço social em detrimento das lógicas invidualistas e tecnocráticas de promoção da inclusão social. Se muitos dos milhões que são gastos no apoio a entidades e a estruturas para promover a denominada “Procura activa de Emprego”, com sessões sobre CVs, sobre como pintar as unhas para agradar ao empregador e como rastejar de forma elegante nas entrevistas de emprego, fossem utilizados em iniciativas deste tipo, com a promoção de redes de contacto, de interacção social, de perspetivas partilhadas e colaborativas sobre como começar, ficaríamos todos a ganhar. As feiras de trocas se tivessem outro tipo de apoio poderiam transformar-se numa nova plataforma de partilha de produtos, serviços e de soluções facilitadoras de inclusão e coesão social. Num ambiente de solidariedade!